Témoignages de nos festivaliers
Merci à tous nos festivaliers pour vos merveilleux témoignages qui nous font chaud au coeur ! N’oubliez pas que votre témoignage quel qu’il soit peut représenter une clé pour d’autres personnes qui vivent les mêmes choses que vous 🙂
Le rosaire avec les 4 mystères m’a beaucoup touché. J’ai retrouvé le goût de la prière du rosaire. Je suis convaincu aujourd’hui que le chapelet sera mon arme de courage pour parler de Marie et de Jésus.Je vais retourner à mon quotidien avec dans le cœur cette perle précieuse de cette force du Festival : le chapelet. J’ai compris l’importance du rosaire et un appel à prendre au sérieux la prière de Marie et de Saint Jean-Paul II de prier, prier le chapelet.
J’ai reçu une plus grande connaissance de l’efficacité et de l’actualité de la prière du Rosaire. Un des moments forts a été le passage de Jésus-hostie où nous avons été invités autour de l’autel et aussi le rosaire complet international, ainsi que les mystères douloureux autour de la croix de Jésus.
Je souhaite prier davantage et m’aider du chapelet. Je crois fermement que la prière est un porte-drapeau pour un monde meilleur.
Les enseignements sont très riches. Merci pour le cadeau des enseignements forts qui nous propulsent vers l’avant et l’engagement.Tout était grâce, surtout à travers les intervenants du matin. Je ramassais des perles et je les méditais toute la journée. C’était très beau. Les enseignements de qualité nous ont édifiés. L’ atelier sur la féminité a très bénéfique pour moi.
Oui ce fut un très beau moment tant pour nous deux que pour nos deux enfants. Les enseignements, les ateliers des enfants, l’organisation logistique étaient de grande qualité. Le fait que le festival soit soutenu par la prière du rosaire et l’adoration continues est très précieux.
Introverti, ayant horreur de danser, mal à l’aise avec mon corps, lors d’une veillée de prière je suis allé danser sur la scène avec mon épouse devant tout le monde.
Durant le temps de la confession, j’ai pu poser dans le cœur de Jésus une blessure d’Église et recevoir du prêtre écoute, consolation et envoi dans la miséricorde.J’ai déposé les armes au pied de la croix et j’ai pu aller au sacrement de réconciliation, chose que je n’arrivais pas à faire.
J’ai reçu un message de réconciliation de mon mari suite aux prières d’un festivalier alors que nous sommes en séparation.
J’ai reçu une grâce particulière de miséricorde en pardonnant une vieille blessure profonde.
Je me suis sentie « aspirée » par le Saint-Sacrement lors d’une soirée de réconciliation sous le chapiteau.
J’ai gardé le bracelet du festival encore quelques jours comme un bracelet de naissance pour un cœur nouveau.
MERCI : pour l’organisation extra, pour cette liesse quotidienne, aux prêtres pour toutes ces heures données pour des confessions… à volonté ! ça rebooste !
J’ai eu la grâce de passer la porte de la miséricorde avec mon fils.
Nous avons été touchés par les témoignages et les rencontres que nous avons faites.La diversité des profils des participants est pour nous un vrai souffle, une réponse à l’appel du pape d’aller aux périphéries, nous avons beaucoup reçu et été touchés par cette diversité.
La louange active à Jésus par Marie a ouvert mon cœur à profiter et à fortifier la grâce qui inonde ma vie à présent. Cette grande famille de l’Alliance Mariale m’a valu d’ouvrir mon cœur à tous ces dons de générosité qu’offrent aux fragiles, aux petits, aux indigents ces équipes et associations… une véritable découverte et un encouragement à rejoindre les périphéries de nos existences.
Mettre en honneur Marie et l’Esprit Saint, quel bonheur. Un cadeau aussi d’intégrer les enfants dans cette fête de famille. J’ai vécu de belles rencontres : il est beau de voir au Festival des personnes de tous milieux, âge, état de vie. J’ai été touchée par le lieu et toutes les grâces qui vont avec. C’était mon premier festival et c’était plus qu’intense !
Ce sanctuaire de Notre-Dame du Laus est une bénédiction et le festival source d’ouverture du coeur.Au petit-déjeuner je croise un prêtre. On partage notre année, il me confie certaines difficultés sur sa paroisse. Je l’assure de ma prière et pars a la louange. Pendant celle-ci il me vient dans le cœur que je peux faire plus pour lui par le don d une forte somme d’argent. Comme cette idée ne vient visiblement pas de moi, j’ai envie de dire oui mais je commence des calculs d’apothicaire : est-ce que je peux ? Et si j’en ai besoin ? Et si j’ai une tuile ? Marie me montrerait-elle une chèvre [ndlr : en écho à l’histoire bien connue a Notre-Dame du Laus de Benoîte et sa chèvre] dont je n’ai pas conscience ? Moi qui me considère comme une fille généreuse ? Plus tard dans la journée je donne le chèque au prêtre. Je me sens en paix. Libérée. Et j’oublie. Le lendemain, à la fin de la louange pendant la prière de consécration, je comprends que Marie m’a donné de vivre ce que je récite en fait chaque jour depuis 2 ans : « je te livre et consacre… mes biens extérieurs et la valeur même de mes bonnes actions… » Merci Marie pour cette grâce de détachement et pour me mettre a ton école.
J’ai vécu un moment très fort au Festival Marial. Divorcée en 1970, je me suis sentie exclue de l’Eglise. A de nombreuses reprises, j’ai interrogé pour connaître l’évolution de l’Eglise à ce sujet. J’ai étudié pendant 2 ans la théologie à Dakar où je travaillais, mais en vain. En arrivant à Notre-Dame du Laus, mon amie qui m’y a invitée a interrogé à ce sujet le père recteur qui nous a dit tout de suite que pour réintégrer la communauté, il suffisait que je me confesse. C’est ainsi que le soir même, je me suis confessée et que j’ai réintégré la communauté à Notre-Dame du Laus. L’émotion a été si forte que le lendemain j’ai fait 20 de tension artérielle… mais tout va bien, Marie veille sur moi.
J’ai beaucoup beaucoup reçu de douceur par les mains de Marie et Jésus. J’ai senti 2 fois les parfums et reçu une guérison du genou droit suite à une parole de prophétie que j’ai prise pour moi. 2 jours avant, j’avais mis de l’huile et j’ai testé mon genou à la descente du Col de l’Ange : pas de douleur, alors qu’avant, sans bâton, c’était problématique. 2 jours après, pendant le chapelet des mystères douloureux, j’entends une parole de prophétie pour moi. Je me suis dit que j’irai réessayer mon genou une deuxième fois à la descente du Col de l’Ange. En effet, ce 24 août, je n’ai pas eu de douleur, même sans bâton. Merci Marie ++++.J’ai demandé à des festivaliers une intercession pour une âme en grande souffrance psychique et morale… elle m’a téléphoné peu après !